L’Oms ou le suppôt de l’industrie pharmaceutique
L’Organisation Mondiale de la Santé (Oms), est plus que jamais sur la sellette, depuis la propagation à vaste échelle, du virus qui dévaste des vies dans le monde. Voici présenté, le portrait d’une organisation condamnée pour son inféodation aux circuits financiers et son incapacité à répondre aux sollicitations de ses membres.
Régulièrement mise sur le banc des accusés, l’Oms est l’un des démembrements du système des nations. A cet effet, les Etats membres de l’ONU sont également et de facto, membres de l’OMS, au même titre que de l’UNESCO, du PAM (Programme alimentaire mondial), de l’UNICEF, du HCR, de l’OMPI, de la Haute cour de justice de la Haye, de l’OMC etc… sur cette liste, chaque structure est créée pour répondre des questions précises, relevant de la compétence des Nations Unies. A partir de là, il est loisible de comprendre qu’aucune d’elles ne sera franchement indépendante au sens propre de ce mot.
L’Oms dans les griffes des industriels occidentaux
Il s’agit ici, de comprendre que tout le système des Nations-Unies est lui-même déjà inféodé par aux lobbies des Etats vainqueurs de la deuxième guerre mondiale, plus la Chine. Ils sont les membres du Conseil de Sécurité qui est sa plus haute instance, les principaux financiers de ce système et possèdent chacun un droit de veto sur toute éventuelle décision. Comment donc espérer qu’un tel organisme jouisse de toute son autonomie ?
A la base, il faut interroger le financement des campagnes électorales dans les démocraties occidentales, pour comprendre qu’aux Etats-Unis par exemple, c’est le candidat qui s’adjuge les faveurs des pontes des industries pharmaceutique et de l’armement, accessoirement de l’agro-alimentaire et de l’automobile, qui cour le plus grand risque d’être élu. Et il ne le sera pas pour ses beaux yeux, mais parce qu’il présente des garantis suffisantes de protéger les intérêts et les placements financiers des pontes de ces deux monstres, ainsi que ceux d’autres magnats de la finance mondiale, tel Bill Gate. En réalité, ce sont ces lobbies qui vassalisent le système des Nations-Unies, aussi bien que tout ce qui lui est connexe, donc l’Oms.
Le VIH/SIDA après le planning familial
Il est donc clair, que l’Oms est le suppôt de l’industrie pharmaceutique occidentale, une sorte de marionnette. C’est à travers elle que les nababs de cette industrie entendent définir, suivant leurs fantasmes, le nombre de décès et de naissances par année, surtout en Afrique, conformément au programme baptisé : l’Afrique sans les Africains. Il s’agit-là d’un programme entamé au cours des années 80, avec la limitation des naissances dans le cadre du planning familial qui échoua lamentablement pour plusieurs raisons.
L’une de ces raisons est l’extrême pauvreté dans laquelle vivent les Africains. A ce stade, point besoin n’est plus de dire que l’un des moyens les plus efficaces pour limiter les naissances est la multiplication des structures de distraction. Or, l’unique distraction des prolétaires est le jeu au lit, qui produit des enfants. L’Occidental ayant fait de la misère en Afrique noire une fixation, il lui est impossible de cesser le pillage pour permettre à cette partie du monde de jouir du fruit de son dur labeur. Le planning familial était donc une utopie et est resté en vigueur à ce jour, juste comme une structure de blanchiment des fonds.
Puis Ebola vint à la rescousse du Vih/Sida
L’échec du planning familial a été directement suivi de la propagation du VIH/SIDA, toujours au cours des années 80, qui emporta d’innombrables vies en Afrique. Ses propriétaires poussèrent la cruauté au point de fa
ire injecter ce virus dans le corps de 400 prostituées dans la ville de Douala, en trompant ces dernières que c’était pour les immuniser contre ce mal, ce qui était plutôt le contraire. Mais en dépit des ravages causés par le VIH/SIDA, la population ne diminua pas au contraire, l’Afrique a dépassé le milliard d’âmes et constitue un véritable cauchemar pour les Occidentaux, qui envisagent d’occuper l’espace ici, pour en faire leur paradis, sans les sales nègres que nous sommes. Ebola a suivi pour prêter main forte au VIH/SIDA afin d’atteindre plus rapidement le funeste objectif d’une Afrique sans les Africains, en vain.
A aucun moment, jamais un responsable de l’Oms n’a fustigé l’expérimentation des produits chimiques nocifs sur le corps des Africains. Au contraire, l’institution a toujours encouragé ces essais en mettant les gouvernements africains sous pressions, pour obliger la plus grande masse à y passer et permettre d’arrondir les statistiques. Plus de 1500 expérimentations ont été faites en Afrique par les industries pharmaceutiques occidentales avec son onction, sans que les Africains s’en doutent, depuis 1972 jusqu’à ce jour. C’est l’espérance de vie qui en a trinqué en diminuant.
Ce n’est donc ni un blasphème, ni une diffamation, quand de nombreuses langues affirment que la propagation de la pandémie qui secoue le monde actuel est favorisée par l’indifférence et la complicité de l’Oms, celle-ci étant consécutive au fait que le virus a été produit dans un laboratoire par les chercheurs Américains, Français et Chinois. Voilà trois Etats membres du Conseil de Sécurité des Nations Unies, qui ont tous un droit de véto, bien que celui de la France soit de très faible amplitude. On l’a vu pendant la guerre du Golfe. Qui est-ce qui les attaquera et où ?
Restructurer l’ONU au lieu d’obliger les Etats à subventionner les médicaments
Pire, le personnel en service à l’Oms est soigneusement muselé comme on a tenté de la faire boucler au Professeur Didier Raout à propos de la chloroquine. Les pyromanes l’avaient enlevé des étalages afin de laisser pourrir la situation. Le but en était de ressortir de leurs laboratoires avec une substance à base de cette même chloroquine. Ils imposeraient ensuite à travers l’Oms, aux Etats Africains, de subventionner sa consommation à vaste échelle à leurs peuples et à prix d’or, pour soi-disant les soigner du CORVID-19.
Les Africains ont, pour une fois, compris qu’ils peuvent compter sur eux-mêmes pour solutionner leurs problèmes. Les assauts actuels de l’Oms pour aider cette industrie à ne pas tout perdre en continuant de promettre un vaccin pour l’an 2021 ne sont plus que les soubresauts d’un moribond. Ainsi, minée de l’intérieur par l’excès de voracité de ses financiers, l’Oms aussi bien que tout le système des Nations Unies se rapproche très rapidement et sûrement de la situation de la Société des Nations, à la veille de sa disparition. Il est temps de restructurer ce système.
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