Pourquoi les médecins ont tant de mal à voir (et à signaler) les accidents vaccinaux ?


 

 

 

Cher(e) ami(e) de la Santé,

Lors de ma visite à l’IHU de Marseille, le Pr Raoult m’a confié ceci :

« Je connais beaucoup de gens qui travaillent dans des EHPAD, ils me disent, le nombre d’accidents vasculaires cérébraux (AVC) qu’on a vus chez les gens qui avaient été vaccinés…

…mais il y a des médecins qui les déclarent, d’autres qui ne les déclarent pas. »

Il y a donc des médecins qui voient et signalent un lien possible entre vaccin covid et AVC, et d’autres médecins qui ne voient rien ou ne signalent rien.

Mais si j’en crois certains de mes échanges à Marseille, les médecins qui « voient » les dégâts de ces vaccins sont de plus en plus nombreux.

Il faut dire que beaucoup de soignants ont observé de leurs yeux ce que les chiffres de la pharmacovigilance montrent depuis le premier jour : que les vaccins anti-covid sont les vaccins les plus dangereux qui ont jamais été mis sur le marché[1].

Pour ceux qui ont les yeux à peu près ouverts, il est évident que ces vaccins causent des AVC, des arrêts cardiaques, des thromboses, des embolies pulmonaires et autres accidents cardiovasculaires.

 

 

Cela a d’ailleurs été prouvé, au-delà de tout soupçon possible, pour les vaccins AstraZeneca et Johnson & Johnson, dans une étude française officielle[2].

Ce n’est qu’une question de temps avant que ce ne soit reconnu pour les vaccins ARN. Rappelons que la toxicité cardiaque de Moderna a conduit plusieurs États européens, dont la France, à déconseiller Moderna aux moins de 30 ans[3]. Quant à Pfizer, son vaccin a été suspendu pour les adolescents à Taiwan [4], en raison du risque de myocardite (inflammation du cœur).

En Israël, pays surnommé la « Pfizer Nation », le nombre d’appels aux urgences pour attaque cardiaque de jeunes âgés de 16 à 39 ans a augmenté de 25 % au moment de la vaccination massive (janvier à mai 2021)[5].

Les auteurs de cette étude ont établi un lien avec la vaccination : « Les appels hebdomadaires aux urgences étaient associés de façon significative au nombre de premières et secondes injections administrées à ces âges-là, mais pas au nombre d’infections Covid ».

Mais les drames cardiaques ne sont qu’une partie de l’histoire. Les vaccins anti-covid sont aussi associés à une multitude d’autres effets indésirables graves : cécité, surdité, maladies auto-immunes, zona, hépatites, paralysies faciales, troubles gynécologiques, etc. Sans oublier les maladies neurodégénératives (Creutzfeldt-Jakob notamment[6]) et un impact probable sur les cancers.

Et cette cascade d’effets graves n’a rien d’inattendue ou de mystérieuse, au contraire.

Vaccins toxiques : c’était prévisible !

Pour s’en rendre compte, il faut revenir quelques années en arrière, avant que la propagande vaccinale de l’année 2020 ne se mette en branle.

En 2016, voici ce qu’on pouvait lire dans un article sur l’entreprise Moderna, publié dans le respecté journal médical StatNews[7] :

« Plusieurs grandes entreprises pharma ont essayé puis abandonné cette technologie ARNm, car il est extrêmement difficile de faire entrer l’ARN dans les cellules sans déclencher de graves effets indésirables.

 

 

Si Moderna y parvenait, cela pourrait permettre de traiter des cancers rares ».

Initialement, Moderna voulait utiliser le fameux ARN messager pour soigner des cancers graves. Puis, au milieu des années 2010, cette entreprise a décidé de se concentrer sur les vaccins. Pourquoi ? Il faut le lire pour le croire :

« Seules, les molécules d’ARN ont du mal à atteindre leur cible. Elles fonctionnent mieux si elles sont enveloppées de mécanisme de transport, comme les nanoparticules faites de lipides.

Mais ces nanoparticules peuvent engendrer de dangereux effets secondaires, surtout si le patient doit prendre des doses répétées au fil des mois ou des années ».

Voilà pourquoi Moderna et BioNTech, les deux entreprises spécialisées sur l’ARN messager, ont changé leur fusil d’épaule : parce qu’un vaccin, en théorie, n’a besoin que d’une ou deux doses pour fonctionner pendant de nombreuses années.

Le vice-président de BioNTech, co-créateur du fameux vaccin Pfizer, expliquait ainsi que « l’ARN est plus adapté aux maladies où un traitement court est suffisamment curatif, afin que la toxicité liée aux mécanismes de transport ait moins de risque de se produire ».

Quel aveu ! La grande toxicité des nanoparticules lipidiques qui entourent l’ARN des vaccins Pfizer et Moderna était donc parfaitement connue ! Et l’augmentation du risque avec chaque nouvelle dose était admise aussi. Ce qui laisse songeur quand on sait qu’on en est déjà à la 5ème dose dans certains pays[8] !

Mais une seule dose était déjà un pari risqué. Il faut bien réaliser que les traitements par ARN messager n’avaient jamais été approuvés par les autorités, pas même pour soigner des patients cancéreux en phase terminale !

 

 

Et pourtant, en 2020, on a soudainement décidé de vacciner des milliards d’êtres humains avec de l’ARN messager entouré de ces fameuses nanoparticules lipidiques… reconnues comme « toxiques » par le propre patron de BioNTech !

Là où un vaccin doit normalement suivre un processus d’une dizaine d’années pour être approuvé, il a suffi de quelques mois pour les mettre sur le marché. Sans la moindre étude sérieuse de toxicité et de biodistribution (permettant de voir où le contenu de la seringue se répand dans le corps) !

Et comme si tout cela n’était pas déjà très imprudent, le contenu du message ARN de ces vaccins était lui-même très problématique. Car ces vaccins ordonnent à nos cellules de fabriquer une protéine (Spike) dont on ignorait tout, issue d’un coronavirus totalement nouveau. Et malheureusement, les craintes sur la toxicité de cette protéine Spike ont vite été confirmées, notamment ses dégâts manifestes sur la coagulation sanguine.

Pour couronner le tout, on nous a dit pour nous rassurer que l’ARN messager était une substance très vite éliminée par l’organisme. Mais l’ARN messager des vaccins a été modifié artificiellement par Pfizer et Moderna pour le rendre plus résistant. L’objectif était que le message ARN se dégrade moins vite dans l’organisme, pour augmenter les chances qu’il atteigne bien les cellules (et suscite des anticorps). Mais cette manipulation provoque un risque accru que cet ARN se répande et s’accumule dans nos organes – ce qui a effectivement été observé chez certains vaccinés[9]!

 

 

Bref, les vaccins anti-covid ont été créés et approuvés en quelques mois, sans le moindre recul sérieux, alors qu’ils se fondaient sur une technologie connue pour être dangereuse, ainsi que sur une protéine virale potentiellement très toxique.

Évidemment, dès leur mise sur le marché, de très nombreux effets indésirables graves sont apparus.

Cela s’est tout de suite vu dans les chiffres de la pharmacovigilance. Auditionnée par le Sénat, la directrice de la surveillance de l’ANSM a reconnu l’énormité de ce qui se passait : « À la mi-novembre, nous atteignons 110 000 déclarations d’effets indésirables rien que sur les vaccins contre la covid, contre 45 000 tous médicaments confondus pour une année normale. »[10]

Au total, sur l’ensemble de l’année 2021, il y a donc eu 3 fois plus d’événements indésirables signalés pour les seuls vaccins anti-Covid que pour tous les autres vaccins et médicaments réunis[11] ! Et 25 % de ces effets indésirables étaient « graves », soit près de 30 000 !

Sachant que la grande majorité des effets indésirables ne sont jamais signalés par le personnel médical (comme l’a reconnu la directrice de l’ANSM lors de son audition au Sénat), cela donne une idée de l’ampleur des dégâts.

 

 

Beaucoup de soignants l’ont observé de leurs yeux. Voici un témoignage entre mille, celui d’une infirmière du Maryland dès l’été 2021 :

« Mon rapport de terrain est qu’il y a beaucoup de patients blessés par ces vaccins. Je n’ai jamais rien vu de tel. Depuis janvier, j’ai observé personnellement 6 décès et j’ai perdu le compte des blessures. Je parle d’effets graves, comme uriner des caillots de sang, gastroparésie, altération de l’état mental, arrêt respiratoire, arrêt cardiaque, crise d’épilepsie, primo diabète… J’ai des patients qui ne peuvent plus marcher. J’ai des patients qui continuent de se plaindre de leurs pieds et de leurs mains qui sont brûlants. Ils oublient où ils sont. »[12]

Pour cette infirmière, il ne fait aucun doute que « tout professionnel de santé travaillant avec des patients dans ce pays doit voir ce qui est en train de se passer ».

Et en effet, il est certain que beaucoup de médecins savent et se taisent, par lâcheté, conformisme, pression sociale, voire peur d’être radié de l’Ordre et de perdre leur gagne-pain.

Mais il y a aussi beaucoup de médecins et soignants qui ne voient rien du tout, qui semblent encore tout ignorer de cette catastrophe sanitaire – sans quoi ils n’auraient pas majoritairement accepté de se faire injecter leur 3ème dose à l’hiver 2021-2022.

Comment est-ce possible ? Que se passe-t-il dans leur tête ?

Pour le comprendre, il faut se plonger dans la psychologie des médecins. Car le corps médical a un rapport problématique à la « iatrogénie » – c’est-à-dire aux dégâts causés par les produits qu’ils ont eux-mêmes prescrits ou administrés. Et cela ne date pas d’hier.

 

 

L’affaire Semmelweis et le grand tabou de la médecine

La réticence des médecins à accepter qu’ils puissent causer des dommages à leurs patients est une tendance lourde de l’histoire de la médecine.

Une des affaires les plus révélatrices a eu lieu au milieu du 19ème siècle. C’est l’époque où de très nombreuses mères décédaient de « fièvre puerpérale » lors de leur accouchement. Ce fléau sévissait dans tous les grands hôpitaux européens, et en particulier à l’hôpital général de Vienne, pourtant d’excellente réputation. Les chiffres étaient effrayants : en 1847, une mère sur 6 y est morte de la fièvre puerpérale, lors de son accouchement[13].

Après enquête, un jeune médecin nommé Semmelweis découvrit la raison de cette hécatombe : les médecins accoucheurs passaient directement de la salle d’autopsie à la salle d’accouchement, sans se laver les mains correctement ! Sans connaître les microbes, Semmelweis comprit que des « particules de cadavres » transportés par les médecins devaient contaminer les mères.

 

 

Immédiatement, il exigea de tous les médecins qu’ils se lavent soigneusement les mains avant d’effectuer un accouchement, avec du chlorure de chaux, un désinfectant efficace.

Le résultat a été spectaculaire : le taux de mortalité a été divisé par 10, passant à 1 pour 100 ! En seulement 12 mois, Semmelweis a sauvé la vie de 300 mères et 250 bébés[14].

Mais c’est ce qui suivit ensuite qui est incroyablement révélateur de la mentalité médicale, dont je prétends qu’elle est encore présente de nos jours.

Plutôt que d’être célébré comme un héros, et de voir ses recommandations salvatrices adoptées dans tous les hôpitaux européens, le Dr Semmelweis a été la cible d’attaques ignobles de la part de l’institution médicale.

Les théories de Semmelweis furent tournées en ridicule par les savants de l’époque. Des médecins qui causent des milliers de morts ? Impensable !

Pire : en dehors de l’hôpital de Vienne, personne ne se précipita pour adopter ses bonnes pratiques, qui avaient pourtant divisé par 10 le nombre de morts.

Le pauvre Semmelweis sombra alors dans une profonde dépression. À l’âge de 47 ans, en 1865, on l’entraîna contre son gré dans un asile d’aliénés, où il fut passé à tabac par un gardien et mourut deux semaines plus tard.

Malheur à ceux qui disent que les médecins « tuent » ou provoquent des maladies. Et c’est une tendance psychologique de fond, qui continue d’avoir des effets au 21ème siècle.

 

 

Le Pr Gherardi en a fait les frais, lui qui a découvert au début des années 2000 la myofasciite à macrophage, une maladie musculaire et neurologique grave. Acclamé pour sa découverte au départ, il a été ostracisé du monde médical dès qu’il a compris et démontré que cette maladie était causée par l’aluminium contenu dans certains vaccins.

Voici, mot pour mot, ce que lui a confié un grand Professeur de médecine (Marcel-Francis Kahn) : « Cher ami, je crois que vous avez raison… Mais je dirai toujours que vous avez tort ! » Parce que les dommages causés par l’aluminium vaccinal sont « iatrogènes », c’est-à-dire provoqués par un acte médical… et donc par des médecins !

Reconnaître que des vaccins peuvent causer de graves dégâts est un immense tabou dans le monde médical.

Pour les médecins vaccinateurs – et ils ont été très nombreux dans le cas du Covid – ce serait un immense fardeau psychologique à porter, et peu de gens en sont capables.

La preuve, ici aussi, avec l’affaire Semmelweis. Un médecin obstétricien nommé Dr Gustav Michaelis a très tôt reconnu la validité de sa théorie et a décidé d’appliquer sa pratique du lavage de mains. Mais il a mis fin à ses jours peu après, en 1948, accablé par la culpabilité, en pensant à toutes les femmes mortes de fièvre puerpérale, y compris dans sa propre famille.

Les médecins sont comme tout le monde : leur cerveau écarte automatiquement les faits trop dérangeants psychologiquement – les faits qui risquent de malmener l’image qu’ils ont d’eux-mêmes et de leur profession.

Mais il y a aussi une spécificité du corps médical. Les médecins sont presque « programmés » pour se voiler la face en cas de iatrogénie – et c’est le cas tout particulièrement pour les effets indésirables des vaccins.

C’est ce que nous verrons la semaine prochaine – restez connecté.

Bonne santé,

Xavier Bazin

 

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