C’est le seul pays européen à avoir enregistré post-confinement une croissance de l’activité dans le secteur privé d’après un indicateur très suivi .
Comptée parmi les puissances économiques en Europe , la France cette fois ci a encore fait parlé d’elle sous un angle assez dynamique et stratégique de l’économie, à savoir le secteur privé, et plus précisément celui de la production manufacturière et des services.
En effet la pandémie covid-19 a plongé l’humanité tout entière dans un état alarmant aussi bien sur le plan sanitaire que économique. Ce qui a par ailleurs mené des États dans le monde à une période de confinement forcé. Cette situation a certainement entraîné une reprise économique très difficile nécessitant des stratégies rigoureuses.
Pendant que l’Hexagone tente à donner des signes tangibles de reprise économique après le choc de la période de confinement lié à la pandémie de Covid-19, la France , deuxième économie européenne a retrouvé le chemin d’une croissance de l’activité alors même que le reste du monde est toujours en déclin.
La France de devient alors “le wagon de tête économique de l’Europe en ce moment”, grâce à son indice PMI des services et de la production manufacturière .
Autrement dit , depuis le début du mois de juin, le baromètre de l’activité du secteur privé a bondi, passant de 32,1 à 51,3, a indiqué mardi dernier IHS Markit, qui gère cet indice.
À cet effet la France et l’Australie sont actuellement les seuls pays parmi les grandes puissances économiques analysées par IHS Markit à avoir dépassé la barre des 50 points, un niveau qui n’avait pas été atteint depuis février.
Manifestement, d’autres pays tentent encore à tirer leur épingle du jeu, ce qui n’est du tout pas évident.
Autrement dit , depuis le début du mois de juin, le baromètre de l’activité du secteur privé a bondi, passant de 32,1 à 51,3, a indiqué mardi dernier IHS Markit, qui gère cet indice.
À cet effet la France et l’Australie sont actuellement les seuls pays parmi les grandes puissances économiques analysées par IHS Markit à avoir dépassé la barre des 50 points, un niveau qui n’avait pas été atteint depuis février.
Manifestement, d’autres pays tentent encore à tirer leur épingle du jeu, ce qui n’est du tout pas évident.