La Commission européenne a tenu, mercredi 10 juin, sa réunion plénière hebdomadaire, le « collège », et elle a décidé de préconiser la réouverture des frontières extérieures de l’Union européenne à partir du 1er juillet alors que le désordre menace, puisque la Grèce envisage déjà de rouvrir ses aéroports aux touristes australiens, chinois et coréens.
Ce n’est pas encore le retour au monde d’avant, car la Commission européenne évoque d’abord des conditions pré-requises pour envisager de rouvrir ses frontières extérieures.
Selon le chef de la diplomatie européenne Josep Borrell, la Commission va publier d’ici la fin de la semaine une série de « critères et de principes » qui serviront de préalable. Et encore s’agira-t-il uniquement de certains pays déterminés. Et ce ne sera que « partiellement et graduellement » que seront levées les restrictions. Elles avaient été imposées à l’origine jusqu’au 15 juin sur recommandation de la Commission elle-même.
Pour l’instant, la Commission ne prend pas sur elle d’imposer aux 27 capitales cette date du 1er juillet, mais cette préconisation est avant tout destinée à éviter que se reproduise le désordre qui a régné autour de la réouverture des frontières intérieures de l’espace Schengen.
La Commission a choisi de ne pas exercer ses prérogatives de gardienne des traités européens et de ne pas imposer de date pour les frontières Schengen, mais elle entend bien proposer une approche coordonnée et concertée pour les frontières extérieures afin que l’Union redémarre d’un même pied.
e n’est pas encore le retour au monde d’avant, car la Commission européenne évoque d’abord des conditions pré-requises pour envisager de rouvrir ses frontières extérieures.
Selon le chef de la diplomatie européenne Josep Borrell, la Commission va publier d’ici la fin de la semaine une série de « critères et de principes » qui serviront de préalable. Et encore s’agira-t-il uniquement de certains pays déterminés. Et ce ne sera que « partiellement et graduellement » que seront levées les restrictions. Elles avaient été imposées à l’origine jusqu’au 15 juin sur recommandation de la Commission elle-même.
Pour l’instant, la Commission ne prend pas sur elle d’imposer aux 27 capitales cette date du 1er juillet, mais cette préconisation est avant tout destinée à éviter que se reproduise le désordre qui a régné autour de la réouverture des frontières intérieures de l’espace Schengen.
La Commission a choisi de ne pas exercer ses prérogatives de gardienne des traités européens et de ne pas imposer de date pour les frontières Schengen, mais elle entend bien proposer une approche coordonnée et concertée pour les frontières extérieures afin que l’Union redémarre d’un même pied.